19/12/2008



Un de mes meilleurs potes vient de m'envoyer une photo que j'ai beaucoup aimée: un morceau d'un accélérateur de particules . j'y ai tout de suite vu un "mandala" scientifique . j'ai été lire de ça de là quelques trucs sur ces dits "accélérateurs de particules" : rien pigé ! j'ai pris dans une de mes biblis un vieux bouquin : "Théorie et pratique du mandala" : je me suis souvenu qu'à l'époque où je l'avais lu je n'avais rien compris non plus . Bref : je n'arrive pas à avoir peur ni des micro-trous noirs ni des lumières turquoise ! je devrais peut être relire tout ça après avoir absorbé doucement deux ou trois petits verres de Versynte Blanche (offerte récemment par le même vieux pote) : ça marcherait mieux ! j'y verrais peut être plus clair ?

Le LHC, l’accélérateur de particules le plus grand et le plus puissant du monde, est le dernier maillon du complexe d’accélérateurs du CERN. Il consiste en un anneau de 27 km de circonférence formé d’aimants supraconducteurs et de structures accélératrices qui augmentent l’énergie des particules qui y circulent. À l’intérieur de l’accélérateur, deux faisceaux de particules circulent à des énergies très élevées et à une vitesse proche de celle de la lumière avant de rentrer en collision l’un avec l’autre. Les faisceaux circulent en sens opposé, dans des tubes distincts placés sous un vide très poussé (ultravide). Ils sont guidés le long de l’anneau de l’accélérateur par un puissant champ magnétique, généré par des électroaimants supraconducteurs. Ces derniers sont composés de bobines d’un câble électrique spécial fonctionnant à l'état supraconducteur, c’est-à-dire conduisant l’électricité sans résistance ni perte d’énergie. Pour cela, les aimants doivent être refroidis à -271°C, une température plus froide que celle de l’espace intersidéral. C’est la raison pour laquelle une grande partie de l’accélérateur est reliée à un système de distribution d’hélium liquide qui refroidit les aimants ainsi que d’autres systèmes annexes.

Des milliers d’aimants de types et de tailles différents sont utilisés pour diriger les faisceaux le long de l’accélérateur. Parmi eux, les aimants principaux, dont 1234 aimants dipolaires de 15 m de long utilisés pour courber la trajectoire des faisceaux, et 392 aimants quadripolaires de 5 à 7 m de long qui concentrent les faisceaux. Juste avant la collision, un autre type d’aimant est utilisé pour “coller” les particules les unes aux autres, de façon à augmenter les probabilités d’une collision. Ces particules sont si minuscules que les faire entrer en collision revient à lancer deux aiguilles éloignés de 10 km, l’une contre l’autre !

« Ensuite le mandala est entouré et circonscrit à l’extérieur par un cercle dans lequel se déroule une série de volutes : c’est la « montagne de feu » (me ri) un barrage de flammes qui apparemment en interdit l’accés (…) Tout de suite après on dessine une « ceinture de diamants » (rdo rje ra ba) … »

Les « strangelets »

On appelle « strangelet » un hypothétique bloc microscopique de « matière étrange », contenant à parts presque égales les particules appelées quarks up, down et étranges. D’après la plupart des travaux théoriques, la matière étrange devrait se muer en matière ordinaire en l’espace d’un millième de millionième de seconde. Mais les strangelets pourraient-il se combiner avec de la matière ordinaire pour la transformer en matière étrange ? La question a été posée pour la première fois avant le lancement du Collisionneur d’ions lourds relativistes (RHIC), en l’an 2000 aux États-Unis. Une étude menée à l’époque a établi qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter et le RHIC fonctionne maintenant depuis huit ans sans qu’aucun strangelet ait été déniché. Le LHC accélérera parfois des faisceaux de noyaux lourds, tout comme le RHIC. Les faisceaux du LHC seront dotés de davantage d’énergie, mais cela ne fera que diminuer les probabilités de voir se former des strangelets. Aux hautes températures produite par ces collisionneurs, l’accrétion de matière étrange est plus difficile, tout comme de la glace ne se forme pas dans de l’eau chaude. De plus, les quarks seront plus dilués au LHC qu’au RHIC, ce qui rend l'accrétion de matière étrange plus difficile. Ainsi, les strangelets risquent moins d’être produits au LHC qu’au RHIC et l’expérience acquise au RHIC a déjà confirmé que les strangelets ne pouvaient pas être produits.

« reconnais ces choses comme tes propres imaginations , reconnais que tout ceci est l’état de l’expérience intermédiaire »

Le Large Hadron Collider (LHC), l'accélérateur géant de particules, entré en service, mercredi 10 septembre, près de Genève, a suscité d'intenses débats sur Internet par vidéos interposées. L'hypothèse selon laquelle les microtrous noirs générés par le LHC pourraient grossir et engloutir la Terre a d'abord été soulevée par de très sérieux scientifiques, mais c'est sur la Toile que les spéculations sur une possible fin du monde le 10-09-2008, qui n'a finalement pas eu lieu, ont enflé.

« alors les images t’apparaitront comme des corps lumineux, le ciel se manifestera dans une lumière turquoise (…) un lumière turquoise , manifestation de la gnose de la sphère des idées, purification du principe conscient – lui aussi- de lumière turquoise , transparent , émanant du cœur de rNam par snan mdsad et de la Mère , tous deux embrassés ensemble, t’apparaitra d’une telle manière que tes yeux ne la supporteront pas (…)

(sources : le site du CERN / Giuseppe TUCCI « théorie et pratique du mandala » (Fayard 1974)


La Versinthe La Blanche est une absinthe distillée à partir de dix huit plantes différentes, même si c'est l'anis qui est dominant. Elle est souvent conseillée pour découvrir l'absinthe car elle bénéficie d'une complexité aromatique très correcte et d'une très légère amertume.

NEZ L'anis vient en premier, suivi d'une pointe d'absinthe. Parfums vaguement savonneux.
TROUBLE Elle ne trouble pas très rapidement.
BOUCHE Plutôt agréable : anis et fenouil sont là mais neprédominent pas. Réglisse et parfums de plantes mentholées s'imposent ensuite avec homogénéité mais sans beaucoup de nuances. Normal : génépi, estragon, aneth, basilic, romarin, menthe poivrée et verveine, concourrent à donner à la Versinthe la Blanche son arôme particulier et boisé bien que peu marquant.


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