17/09/2009

courlis & nuages rouges



la version originale des vers de Ted Hughes est sur lieux dits


petite note "littéraire" : Ted Hughes fut le mari de Sylvia Plath , dont une autre grande amye, Valérie Rouzeau , a traduit récemment "Ariel" (ed Gallimard) dont les derniers vers sont :
"Depuis le fond de l'étang, les étoiles
régissent une vie"

(l'un avait la tête dans les "nuages rouges" l'autre dans le "fond de l'étang" : à 31 ans Sylvia Plath s'est suicidée !)

4 commentaires:

Ut a dit…

Et si c'était le nuage qu'on a dans la tête, et le moineau qu'on voit derrière le rêve, qui comptaient?
Parce que l'oiseau peut miauler; le nuage saigner.. t'as raison; y a pas de comptable pour ça.. et tant mieux!
Douce soirée :)

Anna de Sandre a dit…

J'aime Sylvia Plath, ce n'est pas courant d'entendre parler d'elle sur un blog.

Éric a dit…

Je vais retravailler tous mes poèmes en y incluant chaque fois un nuage et un zoziau !

HK/LR a dit…

Anna de S : si il était "courant" d'entendre parler de Sylvia Plath sur un "blog" c'est que la "blogosphère" serait une version high tech de l'abbaye de Theleme , non ?
(et , sauf erreur de ma part, on en est "loin" )


Rick : chauffe gars ! chauffe ! mets nous zy des zizioux et des nuages dans tes pouhèmes !